Ce film, coproduit par des capitaux britanniques et américains (notamment la BBC et Discovery Channel), a été réalisé par Justin Hardy, d'après une idée originale de Charlie Foley (assisté, dans l'élaboration du scénario, par Justin Hardy, David McNab, Kevin Tao Mohs et Aidan Woodward. Ce programme, d'une durée de 100 minutes, a été diffusé pour la première fois en France en décembre 2005, sur la chaîne de télévision TF1.
Dragons : et s'ils avaient existé... (titre original en anglais : Dragons' World: A Fantasy Made Real) est un docu fiction animalier en images de synthèse racontant l'histoire d'un paléontologue dont la découverte va bouleverser le monde scientifique : il vient de tomber sur un squelette de dragon datant du Moyen Âge et dont les ancêtres étaient contemporains des dinosaures.
Ce film, coproduit par des capitaux britanniques et américains (notamment la BBC et Discovery Channel), a été réalisé par Justin Hardy, d'après une idée originale de Charlie Foley (assisté, dans l'élaboration du scénario, par Justin Hardy, David McNab, Kevin Tao Mohs et Aidan Woodward. Ce programme, d'une durée de 100 minutes, a été diffusé pour la première fois en France en décembre 2005, sur la chaîne de télévision TF1.
2 Comments
En 2006 a eut lieu une exposition unique à Paris consacrée aux dragons ! Si vous n'avez pas eut l'occasion de vous y rendre, c'est le moment de vous rattraper en vous rendant sur leur site internet : http://www2.mnhn.fr/dragons/exposition_dragons_au_mnhn.html J'espère que cela assouvira votre soif de connaissance et vous éclaissira à savoir si les Dragons ne sont vraiment que fiction .... Le nom de « drakkar » sous lequel sont communément connus les navires vikings, quels qu’ils soient, est un terme apparu en 1840, inspiré du terme suédois drakar, pluriel de drake (dragon), lui-même apparenté à l'ancien nordique dreki. L'historien François Neveux précise que « dans l'espace viking, [le terme de dreki] sert d'abord à désigner les figures sculptées à la proue et à la poupe des navires, qui représentaient souvent des dragons ». L'archéologue naval Ole Crumlin-Pedersen qui a fouillé les épaves de Skudelev, dans le Golfe de Roskilde au Danemark en 1962, a établi une typologie qui fait l'unanimité. Pour clarifier, il existe deux familles principales de navires. Les langskip qui sont des navires de guerre et les kaupskip qui sont des navires de commerce. Les langskip ont pour point commun d'être pontés et d'avoir un important équipage de rameurs. Ils n'ont pas de place pour le stockage des marchandises. Ils se déplacent indifféremment à la voile ou à l'aviron. Ce sont des transports de troupes capables de remonter les rivières. Selon leur taille, ils portent différents noms : karv, snekja, dreki... Les kaupskip sont des navires de commerce, ils se déplacent à la voile et disposent d'un équipage réduit. Capables de naviguer en haute mer, ils ne sont pas pontés. Leur cale est dite ouverte. Le navire de ce type découvert à Skudelev avait une capacité de charge de 16 tonnes. Depuis, des épaves de plusieurs autres navires de commerce ont été découvertes. Selon leur taille, on les nomme byrding ou knörr. Il existe également de bateaux de pêche ou caboteurs que l'on nomme ferja, mot qui a donné notre ferry. Les navires qui rejoignaient l'Islande étaient principalement des navires de commerce conçus pour la haute mer, c'est-à-dire des knörr. Les navires trouvés dans les tombes royales sont, selon Ole Crumlin-Pedersen, des karv. Ces navires de guerre ont la particularité d'être plus larges que les navires classiques. Cela se justifie par la nécessité de pouvoir embarquer le roi, son trésor et/ou sa hird, sa garde rapprochée. Il s'agit de navires de prestige. Les premières découvertes de navires vikings à Gokstad en 1880 et à Oseberg en 1904 ont amené les archéologues à la conclusion que les Vikings étaient des « commerçants de produits de luxe ». En effet, ces deux navires pontés qui avaient des équipages nombreux, laissaient très peu de place pour embarquer des marchandises. Or, comme il était de notoriété publique que les Vikings étaient avant tout des commerçants, les archéologues sont arrivés à la conclusion qu'avec des navires aussi mal conçus, les commerçants étaient obligés d'embarquer des marchandises peu encombrantes, mais à forte valeur ajoutée pour rentabiliser leur voyage. Donc, des marchandises de luxe. Depuis les fouilles de 1962, nous avons la preuve qu'à côté des bateaux guerriers, les vikings disposaient de bateaux de charge capables d'embarquer des cargaisons de plusieurs tonnes. Certains les ont vus, et l'on peut dire que les témoignages concernant des créatures serpentines géantes sont nombreuses. Pline l'Ancien aurait assisté, en Ethiopie, à l'agonie d'un éléphant vidé de son sang par un dragon. En 793, en Angleterre, un groupe de dragons survola le monastère de Saint-Cuthbert, annonçant quelque malheur. Il est de fait que par la suite le monastère fut détruit par des Vikings. Force témoignages concernant les serpents de mer ont été recueillis. En 1817, au large du Cap Breton, Ms Lee aurait vu un serpent colossal (vingt mètres). En 1860, alors qu'il était lancé dans une expédition marine, Peter Karl van Esling, directeur du zoo de Den Hague, observa un serpent marin de sept mètres environ, couleur argent.Il fut nommé par les matelots Megophias. Un des plus célèbres serpents de mer est sans doute le monstre du Loch Ness, ou Nessie. Sa première apparition daterait de 565, selon un témoignage de Saint Columba. Mais c'est quand Mr et Mme Spencer, en 1933, vont voir la monstre traverser devant eux la route, une proie dans sa mâchoire, que le Nessie fait le sujet de nombreux articles dans la presse. Photographies et films du monstre restent peu convaincantes et les expéditions menées à la recherche de Nessie sont demeurées sans résultats. Les autochtones du désert de Gobi ont témoigné de l'existence d'Allghoi Khorkhoi, des worms rouge foncé de un mètre cinquante de long, crachant un poison létal. Sur Drakensberg, chaine de montagne d'Afrique du Sud, vivent des dragons volants. Au pied du mont Meru, en Tanzanie, s'étend une forêt hantée par des dragons. Les Kaonde, en Zambie, connaissent le Kongamato, dragon ailé vivant dans les marais de Jiundu. Les créatures draconiques ont intéressé particulièrement les cryptozoologues (la cryptozoologie est l'étude scientifique des animaux dont l'existence n'est connue que par des preuves testimoniales ou circonstancielles, voire par des preuves matérielles, mais jugées insuffisantes, non convaincantes.), qui voient souvent en elles des survivantes de créatures considérées comme disparues (ptérodactyles), comme les fossiles vivants. On ne compte plus les témoignages recueillis par les cryptozoologues qui font référence à des "dragons" ! Les dragons d'Extrême-Orient sont des divinités créatrices, ordonnatrices et civilisatrices. Le dragon, symbole positif, bénéfique, union de la matière et de l'esprit, est associé aux quatre éléments : eau (forme dragonique vivant dans l'eau, roi-dragon habitant des palais aquatiques), terre (caverne), feu (foudre) et air (souffle). Chez les hindous, il produit le soma, breuvage d'immortalité. Il est identifié au dieu du feu Agni, ou, selon d'autres sources, Prajapâti. La puissance du dragon, enseigne Tchouang-tseu, est chose mystérieuse : elle est la résolution des contraires ; et Confucius de voir, selon lui, en Lao'tseu, philosophe à peu près contemporain de Confucius, la personnification même du dragon. En Chine, il défile avec les saisons, sert de monture aux Immortels, portent le palais des divinités sur son dos ; il participa à la construction du monde. Quand Tien Ti, empereur du Ciel, jugea que les hommes étaient mauvais, il provoqua le déluge pour noyer l'humanité. Mais Yü, dieu attaché aux hommes, intercéda en leur faveur auprès de Tien Li. Attendri, l'empereur céleste mit fin au pluies diluviennes. Alors apparut une gigantesque tortue noire, portant sur sa carapace une nouvelle terre fertile, ainsi qu'un dragon qui commença, guidé par Yü, à creuser dans la terre les lits des rivières futures. Parmi la nouvelle humanité vivaient des dragons pouvant prendre apparence humaine à volonté, dragons engendrés par la déesse-dragon Nü Kua, et chargés de guider les premiers pas de l'humanité (fonction civilisatrice). Le dragon est un symbole de fertilité, de germination : il arrive que, de sa gueule ouverte, sortent des feuillages. Son apparition est signe de bon augure. L'éclat de tonnerre provoquant la pluie (manifestation de l'activité céleste), c'est étincelle de la vie, de la végétation, du renouvèlement cyclique, qui est figurée par l'apparition du dragon et correspondant au printemps. En saison sèche, le dragon hiberne dans le fond des eaux ; il a plongé dans l'abime depuis l'équinoxe d'automne. Quand arrive l'équinoxe de printemps, le dragon prend son envol vers le ciel (traduit par les positions des étoiles kio et ta-kio, Epi de la Vierge et Arcturus, les cornes du dragon) et génère les pluies fécondant la terre (culture des rizières). Mais si son envol est trop haut, alors les pluies ne viennent pas, et la terre est en proie à la sècheresse. Les processions de février, en Chine, en l'honneur du dragon, on pour but de provoquer son réveil. De même, on expose des portraits de celui-ci quand sévit la sècheresse; on fait une image du dragon Yin pour amener les pluies. Le dragon est yang comme signe du tonnerre et du printemps, de l'activité céleste ; il est yin comme souverain des régions aquatiques : le symbolisme aquatique demeure capital, les dragons vivant dans l'eau et faisant naitre des sources. Le Roi-dragon est roi des nâga (mot sanskrit désignant des génies à buste humain et corps de serpent, qui habitent les régions souterraines et dont le culte est en relation avec celui des eaux). Les premiers empereurs, s'ils sont appelés "fils du dragon", c'est qu'ils ont été engendré par eux.Le dragon est tout naturellement le symbole de l'empereur. Le trône sur lequel l'empereur est assis est le "trône du dragon". Le visage de l'empereur est le "visage du dragon". Et la fameuse perle que possède les dragons dans leur gorge, c'est la parole du chef, puissante et résolue. Mao disait d'ailleurs : "on ne discute pas la perle du dragon." Associé à la foudre (feu) et aux pluies (fertilité), le dragon symbolise les fonctions impériales grarantissant l'ordre et la prospérité. Le nombre des dragons qui ornaient les habits de brocart des généraux de la Chine ancienne étaient spécifiques, et seul l'empereur en avait neuf. Le dragon, est un motif artistique très répandu. Au sein des les temples, il n'est pas rare de voir, dans les fontaines, des dragons de bronze. On le trouve aussi en ornementation autour des portes, et sculptés sur divers objets. La symbolique antique du dragon était beaucoup plus profonde : créature paradoxale symbolisant la source primitive à partir de laquelle s'expriment les contraires complémentaires nécessaire à l'ordre des choses : lumière et ténèbres, création et destruction, principe masculin et principe féminin, yin et yang, bien et mal, le dragon n'était pas bon ou mauvais en lui-même, mais c'était la façon dont on exprimait cette énergie primitive qui l'était. L'avènement du christianisme en Occident à changé toute la symbolique ancienne et le dragon est devenu, dans le monde chrétien, symbole du Mal. Le dragon est alors même l'incarnation de Satan. En sorcellerie, le dragon devient le gardien d'un savoir ésotérique : deux ouvrages de sorcelleries célèbres, intitulés le Dragon rouge (ou l'art de commander les esprits célestes, aériens , terrestres, infernaux, avec le secret de faire parler les morts) et le Dragon noir (ou les forces infernales soumises à l'homme) le montrent bien. Le Livre des Révélations (12:3, 7-10) décrit Satan sous la forme d'un dragon couronné, qui sera vaincu par Michaël et ses anges. L'Apocalypse de St Jean donne également une place à l'image du dragon comme symbole du Mal. Comme symbole démoniaque, le dragon s'identifie au serpent tentateur. Le combat de Saint Georges contre le dragon (et de façon générale, celui de divers saints contre des dragons), que les artistes ont si souvent illustrés, représente la victoire du Bien contre le Mal, ou encore la victoire de l'Eglise sur le paganisme. Par extension, le dragon a été assimilé et identifié, dans la civilisation occidentale, au potentiel d'énergies primordiales, à la fois créatrices et destructrices, que l'humain porte en lui, au monde des émotions, des forces siègent dans l'inconscient. Passions, désirs refoulés et forces obscures bouillonnent tel un dragon prêt à vomir ses flammes. Aller combattre le dragon, c'est s'expliquer avec ses émotions et ses instincts, vaincre la dragon, c'est maitriser sa vie intérieure, c'est gagné le trésor de la maturité, c'est devenir adulte, c'est libérer l'âme, cette vierge prisonnière. Le dragon est un gardien du seuil, aller le terrasser est un voyage initiatique. Tous les dragons de notre vie sont peut être des princesses qui attendent de nous voir beaux et courageux. Toutes les choses terrifiantes ne sont peut-être que des choses sans secours qui attendent que nous les secourions, chante le poète R.M. Rilke. Dans le thème astral, l'axe des dragons (ou axe des Noeuds de la Lune) donne des informations concernant la part du destin et du libre arbitre d'un individu. La queue (ou Noeud Sud) représente les réflex comportementaux, les habitudes mentales,les acquis, les automatismes, les contraintes qu'il faut surmonter pour triompher du passé. La tête (ou Noeud Nord) représente les choix, la prise de conscience, les nouvelles possibilité offertes, le libre arbitre, l'homme nouveau qui nait en nous. Ouroboros. En copte, "ouro" veut dire "roi" et "ob", c'est le "serpent", en hébreu. L'ouroboros, le dragon qui se mort la queue, est le symbole gnostique de l'unité de la matière et de son évolution. Il n'a pas de repos, comme le feu de l'alchimiste. Il marque l'éternelle recommencement des processus magiques et rituels. Les ans qui passent et le retour à l'origine. Carl Gustave Jung nous dit : "Il engendre lui-même, se sacrifie lui-même et il est l'instrument de son propre sacrifice, car il est le symbole de l'eau mortelle et vivifiante." Dans Psychologie et Alchimie, Jung nous dit du dragon : "il est l'être primordial hermaphrodite, qui se divise pour former le couple frère-sœur classique, et qui s'unit lors de la conjonction pour apparaitre à nouveau à la fin sous la forme rayonnante de la lumen novum (lumière neuve) du lapis. Il est métal et cependant liquide, matière et cependant esprit, froid et cependant ardent, poison et cependant remède - il est un symbole qui unit tous les opposés." Et c'est pour ça que le dragon peut être considéré comme la materia prima (matière première) à partir de laquelle peut s'élaborer le Grand Oeuvre alchimique dont phase initiale est l'ingestion de la queue venimeuse et humide du dragon. Quand la mue du dragon est complète, de son poison nait la panacée. La mythologie assyro-babylonienne nous présente les premiers dragons. L'eau est l'élément primordial. C'est de la fusion de l'eau douce, personnifiée par Aspou, et de l'eau salée, personnifiée par Tiamat, que résultent les dieux et tous les êtres. Lahmou et lahamou, sont les premières divinités, et leur forme est celle de serpents monstrueux. Ils donnent naissance à Anshar, le principe mâle et céleste, et à Kishar, le principe femelle et terrestres, et d'eux voient le jour les grands dieux : Anou le puissant, Bel-Mardouk le dieu solaire, Êa la sagace, les Iggi peuplant le ciel et les Anounnaki sur la terre et dans les enfers. Les nouveaux dieux contestèrent l'ordre établi et Apsou s'en plaignit à Tiamat et, ainsi, les deux complotèrent l'anéantissement de leur descendance. Mais Êa la sagace, qui perçoit toutes choses, fut instruit du noir dessein et par sa magie emprisonna Apsou et le mit hors d'état de nuire. Tiamat, entrant dans une rage noire, rallia certains dieux à sa cause et engendra une armée de monstres hideux : de terribles dragons aux écailles éclatantes, des hommes-scorpion, des chiens au regard de feu, des monstres-tempêtes, des hommes-poissons, des béliers furieux... Elle même se mua en un dragon gigantesque et affreux, et aucun des dieux n'eut le courage de se mesurer à cette multitude déchainée ! Sauf Mardouk, qui exigea que l'assemblée des dieux lui conférât l'autorité suprême s'il triomphait de Tiamat. Mardouks'arma alors d'un arc et de flèches, d'un filet et, pour arme majeure, il pris le déluge. Se lançant au combat sur son char, la tempête effrayante, il jeta son filet aux mailles serrées sur Tiamat puis lâcha l'ouragan du déluge qui s'engouffra dans la bouche de Tiamat et maintint ses mâchoires grandes ouvertes. Puis il encocha une flèche et la tira dans la gorge du dragon. La flèche perça son ventre, puis le dieu le réduisit à l'impuissance et détruisit sa vie. Les armées de Tiamat alors en déroute furent emprisonnées dans le filet du dieu et furent jetées dans les abimes infernales. Mardouk coupa le corps de Tiamat en deux et avec une moitié fit la voute du ciel, avec l'autre le monde terrestre. Il ordonna le monde, plaça la demeure des dieux dans les cieux, installa les étoiles, qui sont à leur image, régla le cours du temps, façonna les montagnes et déroula les forêts... Puis, pour faire habiter les dieux dans une demeure qui réjouisse le cœur, Mardouk créa l'humanité, de son propre sang. |
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